
Depuis de nombreuses années, le porc a mauvaise presse. Si la filière éprouve des difficultés bien réelles, elle a aussi su évoluer dans ses pratiques et aujourd’hui de nombreux éleveurs cherchent de la main-d’œuvre qualifiée sans la trouver. C’est ce qu’a pu constater la coopérative Cirhyo sur le terrain. « Les élevages porcins ont grossi et aujourd’hui les exploitants ont besoin d’embaucher des gens formés mais ils n’en trouvent pas, confie Edgar Basset, responsable technique à Cirhyo. Avant, il existait des formations en élevage porcin mais elles sont tombées en désuétude au profit d’autres formations plus dans l’air du temps… »
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Le 25 et le 26 mars, une délégation de cinq responsables d’organisations agricoles de la province de Liège en Belgique s’est rendue en Limousin pour découvrir la filière porcs bio portée par Porlim et le groupement Païso. Après la découverte de l’élevage du lycée agricole de Naves le mardi 25 mars, ils ont pu s’entretenir avec un boucher installé en Corrèze qui valorise bien ce type de produits. Le mercredi 26 mars, ils se sont rendus au Gaec de Panlat à Rilhac-Rancon, où un élevage de 50 truies est conduit en système naisseur-engraisseur en bio, en complément d’un troupeau de 45 vaches limousines dont la plus grande partie des produits est engraissée (génisses de Lyon, vaches de réforme et bœufs de 3 ans). Christophe Bouzonie s’occupe plus particulièrement de l’atelier porcin. Il a accueilli les visiteurs et tous en ont profité pour découvrir l’élevage et la structuration de la filière bio.
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Le 25 et le 26 mars, une délégation de cinq responsables d’organisations agricoles de la province de Liège en Belgique s’est rendue en Limousin pour découvrir la filière porcs bio portée par Porlim et le groupement Païso. Après la découverte de l’élevage du lycée agricole de Naves le mardi 25 mars, ils ont pu s’entretenir avec un boucher installé en Corrèze qui valorise bien ce type de produits. Le mercredi 26 mars, ils se sont rendus au Gaec de Panlat à Rilhac-Rancon, où un élevage de 50 truies est conduit en système naisseur-engraisseur en bio, en complément d’un troupeau de 45 vaches limousines dont la plus grande partie des produits est engraissée (génisses de Lyon, vaches de réforme et bœufs de 3 ans). Christophe Bouzonie s’occupe plus particulièrement de l’atelier porcin. Il a accueilli les visiteurs et tous en ont profité pour découvrir l’élevage et la structuration de la filière bio.
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