
Agriculture > Ovins >
Ovin. Le 6 septembre, plus de 850 agneaux et antenais attendront les acheteurs au parc Charles-Silvestre à Bellac. Malgré les difficultés auxquelles se heurte l’élevage ovin, les responsables croient en la notoriété de leur manifestation.
« Le Carrefour génétique ovin de Bellac est une affaire de spécialistes », notent Michel Maisonnier et Jean-Christophe Reix, respectivement président et vice-président du CGOB, tous deux producteurs d’ovins. « Il nous faut continuer à produire des agneaux de qualité et augmenter de manière significative la productivité de nos élevages afin d’assurer la pérennité de la filière », ajoute le président. Pour ce faire, il est important de compter sur la génétique. Le CGOB va dans ce sens en proposant à chaque édition plus de 850 béliers inscrits, bénéficiant de toutes les garanties sanitaires, aux personnes intéressées.
Alimentation. Avec l’ouverture du magasin Frais d’ici à Limoges, la coopérative Natéa franchit une nouvelle étape dans la valorisation des produits de ses adhérents.
Alors que la loi Égalim venait d’être adoptée à l’assemblée nationale, les responsables de Natéa inauguraient à Limoges Frais d’ici, un espace de vente dédié aux produits alimentaires locaux à l’intérieur du magasin Gamm Vert. Fruits et légumes, épicerie (emballée et en vrac), produits laitiers, viande, conserves, boissons... L’offre se veut complète (1 500 produits sont référencés) pour séduire un consommateur avare de son temps mais attentif aux qualités gustatives, environnementales ou éthiques de son alimentation et près de 300 m2 de surface commerciale lui sont consacrés. Certains producteurs sont identifiés dans le magasin comme « ambassadeurs » de leur production, il s’agit d’adhérents distingués par la coopérative pour la qualité de leur travail. Ils seront ponctuellement présents dans le magasin pour des animations.
Agriculture > Ovins >
Ovin. Ambiance détendue dans les allées du Carrefour génétique ovin de printemps, même si les élections à venir dans les Chambres d’agriculture émaillaient certaines conversations.
Dans les allées du Carrefour génétique ovin de Bellac (CGOB), les discussions allaient bon train et ne tournaient pas toutes autour des béliers, même si leur nombre était en augmentation, avec 392 animaux proposés à la vente contre 338 l’an passé. Un bélier texel de bonne qualité se négociait toujours autour des 600 €.
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Agriculture > Bovins >
Vente de reproducteurs. Sofrelim organisait sa deuxième vente de taureaux sans cornes le 6 avril. Les seize veaux proposés ont trouvé preneurs pour des prix plus qu’intéressants.
Vendredi 6 avril, Sofrelim organisait sa deuxième vente de taureaux sans cornes. Seize jeunes reproducteurs sélectionnés en ferme étaient proposés à la vente aux enchères animée par Stéphane Deconchat. Le rythme de la vente a été correct, les enchères tardant souvent à se lancer, les acheteurs prenant le temps... Au final, tous les veaux ont trouvé preneur pour un prix moyen de 4 070 euros. Trois ont été vendus à l’export : un part en Suisse, un en Espagne et un en Allemagne. Deux vont dans la Loire, un dans les Ardennes, un en Corrèze, un en Dordogne et huit restent en Haute-Vienne.
Agriculture > Bovins >
Moussours. Jeudi 22 mars, la présentation des jeunes reproducteurs qui seront mis en testage sur descendance dès la fin 2018 a été précédée d’une vente aux enchères de ceux qui n’ont pas été retenus.
Créalim met toujours une option sur 14 veaux par série lors de leur entrée en station de qualification à Lanaud. 42 jeunes reproducteurs rejoignent donc la station de contrôle individuel de Moussours.
Depuis 3 ans, ce choix tient compte de certains critères génomiques, indique Sébastien Stamane, responsable de Créalim. Le type morphologique est quant à lui essentiellement mixte viande et les veaux doivent être dotés de bonnes qualités maternelles (facilités de naissance et allaitement). Une volonté de diversifier les origines est aussi observée. « Une douzaine de reproducteurs sont retenus sur ce critère origines ; nous sommes alors un peu moins exigeants sur leurs qualités maternelles », note Sébastien Stamane. Le but : apporter du sang neuf au pool de taureaux destinés à l’insémination animale.
Agriculture > Cultures >
Vente à la ferme. Au Gaec du Val-du-Taurion à Saint-Laurent-les-Églises, un distributeur automatique de pommes de terre est en service. Des variétés locales, créées par le Grocep à Laurière, y sont proposées.
Un distributeur de pommes de terre est en service depuis le 2 novembre à Lascaux, à Saint-Laurent-les-Églises, sur l’exploitation du Gaec Val-du-Taurion. Jérôme Duprat et Jean-Marc Alibert, les deux associés du Gaec, ont choisi de développer la vente de pommes de terre de consommation grâce à un moyen ludique, qui lie innovation et modernité. « On souhaitait développer la vente à la ferme en trouvant une solution au problème de contraintes horaires et de main-d’œuvre. Avec ce système, les clients peuvent venir à tout moment et se servir. C’est un concept innovant, tendance, qui répond à la fois à la demande de vente directe et de produits locaux », indique Jérôme Duprat.
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s.50 : 6,53 €/kg
s.49 : 6,42 €/kg
s.50 : 2,65 €/kg
s.49 : 2,65 €/kg
s.50 : 4,60 €/kg
s.49 : €/kg
s.50 : 6,49 €/kg
s.49 : 6.47 €/kg