Il prend son bâton, ferme la porte. Au bout de quelques pas, il se retrouve dans la forêt et marche, les sens aiguisés. Il relâche les tensions qui peuvent l'oppresser et observe ce qui l'entoure. Une feuille bien dessinée, un bout d'écorce, la blessure d'un arbre... Comme un photographe, il saisit l'instant et imagine cette vision transformée en une pièce de porcelaine bien blanche parce que « le blanc, c'est vraime...
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