Jusqu'à présent, Pascal Maris explique avec clarté ce qu'il vient de vivre, il raconte comment sa compagne a mal vécu cette histoire. Puis son regard se brouille : « On allait perdre toutes nos vaches », se désole-t-il d'une voix beaucoup moins ferme. Mais cette énergie qui l'anime depuis plusieurs semaines lui permet de vite reprendre le dessus. « Ce qu'on veut, c'est comprendre ce qui nous est arrivé. » Pour résumer, l'exploitation a été mis sous surveillance (APMS) avec le risque d'un abattage total du troupeau pendant une quinzaine de jours. Une deuxième expertise...
Prolongez votre lecture !